mardi 24 décembre 2013
dimanche 22 décembre 2013
PONT HENRI KONAN BEDIE : LE PREMIER MINISTRE SATISFAIT DE L’EVOLUTION DU CHANTIER
Le Premier ministre, ministre de l’Economie, des Finances et du Budget, M. Daniel Kablan Duncan a visité ce mardi 17 décembre, le chantier du pont Henri Konan Bédié. Le Premier ministre qui voulait se rendre compte en compagnie de plusieurs membres du Gouvernement, de l’avancée des travaux, s’est félicité du fait que le pont soit sorti de l’eau au 2/3. Ce pont a assuré M. Kablan Duncan sera prêt pour décembre 2014. Sa facture globale est de 125 milliards FCFA pour le pont et 25 milliards pour l’échangeur. Sur le site de construction de l’échangeur du boulevard Valéry Giscard d’Estaing à Marcory, le Chef du Gouvernement a noté la bonne évolution « dans les délais » d’un ouvrage de « haute technologie » qui emploie 1300 personnes dont 92% d’ivoiriens. D’ailleurs, ajoutera-t-il, le transfert de technologie qui s’effectue entre les constructeurs et les nationaux qui y travaillent est un élément important à retenir. Pour le Premier ministre l’inauguration, il y a quelques jours de l’autoroute Abidjan-Yamoussoukro, le lancement des travaux de réhabilitation de la voie Agnibilékrou-Abengourou-Comoé et sa visite sur ce chantier illustrent la réalité d’un « pays en chantier». Ci-dessous l’intégralité de sa déclaration à la fin de la visite:
« Nous sommes venus visiter le pont et l’échangeur.
Les bâtisseurs nous ont dit que le pont sera prêt pour Noël 2014. Je
pense que le Président de la République va lui-même venir l’inaugurer et
nous allons lui faire un rapport pour indiquer que les choses avancent
conformément aux délais. C’est un bel ouvrage avec des technicités de
pointe.
J’ai cru comprendre que le pont a couté 125 milliards et 25 milliards pour l’échangeur. Ils nous ont confirmé que c’est le plus grand échangeur de toute l’Afrique y compris même l’Afrique du sud.
C’est le temps des grands travaux à nouveau en Côte d’Ivoire. Le Président de la République a inauguré l’autoroute reliant Abidjan à Yamoussoukro. Aujourd’hui c’est cette visite. Hier, nous étions à Agnibilékrou. Chacun voit que le pays est en chantier.
Il nous faut poursuivre sur cette lancée. Je pense que l’année prochaine, comme vous le savez tous, nous allons travailler pour atteindre une croissance à deux chiffres de manière à ce qu’on donne plus de travail à l’ensemble de la Côte d’Ivoire.
Ces travaux mobilisent 1300 personnes qui travaillent sur les chantiers. Et plus vous avez de chantiers plus vous avez de gens qui travaillent.
L’autre élément qui est important, c’est le transfert de la technologie entre le groupe Bouygues et les Ivoiriens qui travaillent avec eux. J’ai noté que 92% de travailleurs sont des Ivoiriens. Le pont est sorti de l’eau à 2/3. C’est une excellente chose. Ils sont allés chercher le sol stable à 60 voire 80 mètres.
Il n’y a pas de problème de facture. Ils se seraient plaints s’il y avait des problèmes de factures. La Côte d’Ivoire que je connais a toujours payé ses factures. En ce moment même nous sommes entrain de payer les factures en retard de 2000 à 2010.
Dans le cadre du rattrapage des arriérés antérieurs. L’administration est une continuité. Il y a autour de 150 milliards qui sont concernés. Mme le ministre devait payer 52 milliards.
Elle nous a indiqué ce matin que ce sont entre 30 et 34 milliards qui ont été déjà payés. Le pays repart, la confiance revient et c’est ce qui explique le nombre important d’opérateurs économiques qui viennent au niveau de la Côte d’Ivoire.
Vous allez observer le rush le plus important du 29 janvier au 1er février 2014 dans le cadre du Forum Investir en Côte d’Ivoire parce qu’on attend entre 1500 et 3000 personnes qui viennent. Nous sommes entrain de travailler sur les problèmes d’hôtels.
Eventuellement, on a décidé d’avoir une synergie entre Abidjan, Bassam et Bingerville et pourquoi pas Yamoussoukro ? ».
J’ai cru comprendre que le pont a couté 125 milliards et 25 milliards pour l’échangeur. Ils nous ont confirmé que c’est le plus grand échangeur de toute l’Afrique y compris même l’Afrique du sud.
C’est le temps des grands travaux à nouveau en Côte d’Ivoire. Le Président de la République a inauguré l’autoroute reliant Abidjan à Yamoussoukro. Aujourd’hui c’est cette visite. Hier, nous étions à Agnibilékrou. Chacun voit que le pays est en chantier.
Il nous faut poursuivre sur cette lancée. Je pense que l’année prochaine, comme vous le savez tous, nous allons travailler pour atteindre une croissance à deux chiffres de manière à ce qu’on donne plus de travail à l’ensemble de la Côte d’Ivoire.
Ces travaux mobilisent 1300 personnes qui travaillent sur les chantiers. Et plus vous avez de chantiers plus vous avez de gens qui travaillent.
L’autre élément qui est important, c’est le transfert de la technologie entre le groupe Bouygues et les Ivoiriens qui travaillent avec eux. J’ai noté que 92% de travailleurs sont des Ivoiriens. Le pont est sorti de l’eau à 2/3. C’est une excellente chose. Ils sont allés chercher le sol stable à 60 voire 80 mètres.
Il n’y a pas de problème de facture. Ils se seraient plaints s’il y avait des problèmes de factures. La Côte d’Ivoire que je connais a toujours payé ses factures. En ce moment même nous sommes entrain de payer les factures en retard de 2000 à 2010.
Dans le cadre du rattrapage des arriérés antérieurs. L’administration est une continuité. Il y a autour de 150 milliards qui sont concernés. Mme le ministre devait payer 52 milliards.
Elle nous a indiqué ce matin que ce sont entre 30 et 34 milliards qui ont été déjà payés. Le pays repart, la confiance revient et c’est ce qui explique le nombre important d’opérateurs économiques qui viennent au niveau de la Côte d’Ivoire.
Vous allez observer le rush le plus important du 29 janvier au 1er février 2014 dans le cadre du Forum Investir en Côte d’Ivoire parce qu’on attend entre 1500 et 3000 personnes qui viennent. Nous sommes entrain de travailler sur les problèmes d’hôtels.
Eventuellement, on a décidé d’avoir une synergie entre Abidjan, Bassam et Bingerville et pourquoi pas Yamoussoukro ? ».
Nous aimerons que vous réagissiez suite à cet article.
Côte d’Ivoire : Des exilés au Ghana fustigent la
conclusion de la rencontre FPI-Gouvernement
Hamed Bakayako et les cadres du FPI (ph W) le
jeudi dernier à Abidjan
- Ghana – Accra, le 21 Décembre 2013 © koaci.com– La fracture avec les exilés continue de s'aggraver dans la famille frontiste. Des refugiés ivoiriens au Ghana commencent par réagir à la suite de l’entretien que le ministre d’Etat ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, a eu le jeudi dernier à Abidjan avec une délégation du Front populaire ivoirien (FPI). La rencontre a porté sur les conditions du retour sécurisé des exilés et réfugiés au bercail.
En donnant une suite à cette rencontre dont ils étaient le sujet principal de la discussion, on note des réactions divers de la part des refugiés ivoiriens au Ghana.
Si certains ont salué cette initiative qui vise à favoriser la réconciliation en Côte d’Ivoire, d’autres par contre estiment que c'est « un accord signé sans l'avis des exilés, un accord qui n’est pas pour les exilés » et que par conséquent « ce n’est d’eux qu’il s'agit ».
Dans ce sillage, la Coalition des Patriotes Ivoiriens en Exil (COPIE), une structure dirigée par Damana Adia Pickass, dit avoir appris « avec étonnement ce jeudi 19 décembre 2013, à travers les médias, la conclusion d'un accord entre le gouvernement Ouattara et une délégation du Front Populaire Ivoirien (FPI), composée de Amani N'Guessan Michel, Miaka Ouréto et de Sery Gouagnon sur le retour des exilés ».
En appelant certains de leurs frères exilés et refugiés en exil au Ghana a gardé le calme sur cet accord qui a été signé sans leurs avis, la COPIE dit dans le communiqué signé par Idriss Ouattara, son secrétaire général, que dans les heures à venir elle « donnera de façon claire et nette sa position sur ce prétendu accord ».
Au-delà de cette polémique qui s’installe parmi les réfugiés ivoiriens, certains se posent la question de savoir sur la réelle motivation des leaders du FPI qui sont allés rencontrer le gouvernement du Président Ouattara pour signer un accord en leurs noms sans les avoir consulté.
Au même moment d’autres soutiennent l’initiative prise par la délégation du FPI car pour eux elle vise simplement à amener au respect une disposition constitutionnelle qui stipule qu’ « aucun ivoirien ne doit être contraint à l'exil ».
En coulisse, il se murmurerait qu’en terme de signature d’un accord, des refugiés opteraient plutôt pour des closes claires entre autres l’amnistie, la restitution de biens et avoirs confisqués … et une garantie sécuritaire. Affaire à suivre…
Mensah
Publié le vendredi 20 decembre 2013 | APA
La 3ème édition de la fête ‘’Abidjan,
ville des lumières’’, a été lancée jeudi soir, en présence de la
Première dame, Dominique Ouattara et de plusieurs membres du
gouvernement, a constaté APA sur place dans la capitale économique
ivoirienne.
Au cours de cette cérémonie qui a eu pour cadre l’esplanade de l’hôtel de ville d’Abidjan, situé dans la commune du Plateau, le gouvernement ivoirien a annoncé qu’il entend offrir des fêtes de fin d’année ‘’sécurisées’’ pour 2013 finissant.
Cette assurance a été donnée par le Ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de la sécurité Hamed Bakayoko.
M. Bakayoko, a d’abord, rendu un hommage aux disparus de l’édition de 2012 au cours de laquelle 60 personnes avaient péri dans la bousculade du 31 décembre de cette année-là. ‘’ Ayons des pensées affectueuses pour les parents des victimes de 2012’’, a prié le ministre d’Etat.
« Un plan de sécurisation global a été mis en place pour offrir des fêtes d’année sécurisées aux Ivoiriens » a déclaré M. Bakayoko soulignant que le Chef de l’Etat a donné des « instructions fermes pour éviter de tels drames ».
Par ailleurs, il a indiqué que le plan de sécurisation défini sera « décliné » bientôt afin que les populations soient ‘’ rassurées’’ sur leur sécurité pendant ces périodes de fête.
Avant de procéder à l’illumination de la ville d’Abidjan, Mme Dominique Ouattara, Première Ivoirienne s’est, également, souvenue de ces « morts » de la bousculade de l’année dernière en formulant des « prières ». Cette édition est marquée par une innovention. Il s’agit d’un espace exclusivement réservé aux enfants.
HS/ls/APA
Au cours de cette cérémonie qui a eu pour cadre l’esplanade de l’hôtel de ville d’Abidjan, situé dans la commune du Plateau, le gouvernement ivoirien a annoncé qu’il entend offrir des fêtes de fin d’année ‘’sécurisées’’ pour 2013 finissant.
Cette assurance a été donnée par le Ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de la sécurité Hamed Bakayoko.
M. Bakayoko, a d’abord, rendu un hommage aux disparus de l’édition de 2012 au cours de laquelle 60 personnes avaient péri dans la bousculade du 31 décembre de cette année-là. ‘’ Ayons des pensées affectueuses pour les parents des victimes de 2012’’, a prié le ministre d’Etat.
« Un plan de sécurisation global a été mis en place pour offrir des fêtes d’année sécurisées aux Ivoiriens » a déclaré M. Bakayoko soulignant que le Chef de l’Etat a donné des « instructions fermes pour éviter de tels drames ».
Par ailleurs, il a indiqué que le plan de sécurisation défini sera « décliné » bientôt afin que les populations soient ‘’ rassurées’’ sur leur sécurité pendant ces périodes de fête.
Avant de procéder à l’illumination de la ville d’Abidjan, Mme Dominique Ouattara, Première Ivoirienne s’est, également, souvenue de ces « morts » de la bousculade de l’année dernière en formulant des « prières ». Cette édition est marquée par une innovention. Il s’agit d’un espace exclusivement réservé aux enfants.
HS/ls/APA
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