dimanche 20 juillet 2014

Qui est Hamed BAKAYOKO ?

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Hamed BAKAYOKO, né le 8 mars 1965 est un homme politique, homme de médias et homme d’affaires Ivoirien. 
Proche collaborateur du Président Alassane Ouattara, il est nommé par celui-ci Ministre d’Etat, Ministre de l’Intérieur de la République de Côte d’Ivoire le 1er Juin 2011, après son investiture. 
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Hamed BAKAYOKO est un enfant du quartier populaire d’Adjamé, à Abidjan. Self made Man, sa réussite professionnelle et politique est un exemple de volonté et de travail pour la jeunesse ivoirienne qui lui voue une grande admiration.
Hambak, comme l’appellent affectueusement les ivoiriens, débute sa carrière après des études de médecine en créant en 1990, à l’âge de 25 ans, le Journal Le Patriote dont il est le directeur de la Publication. 
Le futur ministre se forge alors une solide réputation de polémiste et de manageur. Le journal atteint rapidement l’un des plus gros tirages du pays.
Les médias le passionnent depuis toujours. Dès l’école élémentaire, il n’a cessé de diriger des journaux et publications scolaires. À 28 ans, il prend les commandes de la première radio Privée commerciale de Côte d’Ivoire, Radio Nostalgie CI, puis, en 2000 il devient le PDG de Nostalgie Afrique. Il est élu Président du Conseil National des Patrons de Presse de Côte d’Ivoire en 2001.
Il vient à la politique par le militantisme estudiantin. Il occupe de nombreuses responsabilités à la tête de différentes associations d’étudiants comme l’Amicale des Elèves et Etudiants Ivoiriens au Burkina Faso (1986) ou la Jeunesse Estudiantine et Scolaire du PDCI (1990) qu’il Préside.
En 1994, Le Patriote est suspendu par les autorités et Hamed Bakayoko séjourne en prison plusieurs mois pour outrage au Président de la République. La suspension du journal durera cinq ans.
Décidé à compter dans le débat et le combat politique, Hamed Bakayoko relance Le Patriote en 1999 avec une parution quotidienne (il était hebdomadaire à son lancement) pour porter les idées de son camps.
Pour la première fois Ministre en 2003, il entre dans le gouvernement d’union nationale à la faveur des accords de Marcoussis. Il obtient le tout nouveau portefeuille des Télécommunications et des NTIC dont il fait un ministère d’importance. Un poste qu’il occupe durant sept ans, jusqu’en 2010, lorsque le Président Gbagbo dissout le gouvernement.
En 2011, Hamed Bakoyoko tient une place éminente dans le dispositif d’ADO (surnom du Candidat Alassane Dramane Ouattara) durant la campagne présidentielle. Il a la confiance du futur President et porte aux quatre coins du pays son énergie et une capacité rare à galvaniser militants et électeurs. Il est aux côtés du Président élu à l’hôtel du Golfe, pendant toute la durée des événements dramatiques qui ont ensanglantés le pays durant la crise poste électorale.
Aujourd’hui, Hamed Bakayoko, numéro 2 du gouvernement, œuvre avec acharnement à l’apaisement entre les familles de pensées en Côte d’Ivoire et à la réconciliation des ivoiriens entre eux. Trois ans après les événements, son action au ministère de l’intérieur permet à la Côte d’Ivoire de se prévaloir d’un indice de sécurité qui correspond aux normes internationales. Un climat apaisé, une sécurité retrouvée qui permettent le retour des investisseurs, de la croissance économique et du développement.

dimanche 6 juillet 2014


SECURITE MARITIME : UN BATIMENT DE LA MARINE FRANCAISE ABRITE UN SEMINAIRE SUR L’ACTION DE L’ETAT EN MER

Le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la sécurité Hamed Bakayoko, assurant l’intérim du Premier ministre, a présidé en son nom, ce lundi 7 avril, l’ouverture officielle d’un séminaire portant sur l’action de l’Etat en mer. Ce séminaire qui se tient sur deux jours à bord du bâtiment de projection et de commandement(BPC) français le Mistral, réunit les experts ivoiriens, leurs homologues de l’Hexagone ainsi que d’autres des sous-régions ouest-africaines et d’Afrique centrale. Cette rencontre, de l’avis du ministre d’Etat Hamed Bakayoko, traduit l’importance que le pays accorde à la sécurité maritime, dans le contexte de la flambée des actes de piraterie maritime dans le golfe de Guinée. Il y voit le symbole de la synergie d’actions et de la vision commue entre la France et la Côte d’Ivoire dans un domaine où les autorités ivoiriennes misent sur la coopération pour juguler les fléaux auxquels le pays doit faire face au niveau maritime.

Pour Hamed Bakayoko, même si l’action de l’Etat en mer va au-delà de la sécurité maritime, celle-ci n’en constitue pas moins une problématique essentielle et épineuse pour le pays.

Dans la mesure où assure-t-il, la sécurité maritime intègre les questions d’ordre sécuritaire et politique. Tout en indiquant que le gouvernement ivoirien nourrit de grandes attentes de ce séminaire, le représentant du Premier ministre a fait savoir que la Côte d’Ivoire ne ménagera aucun effort pour contribuer aux côtés des autres Etats de la CEDEAO, à la mise en place du Centre régional pour la sécurité maritime en Afrique de l’Ouest. Car, argumente-t-il, c’est ensemble, dans le cadre d’une coopération agissante et avec l’aide de pays amis au nombre desquels la France, que « nous relèverons les défis de la sécurité maritime dans notre pays ».

Pour sa part, Dr Kouassi Lenoir, représentant le Secrétaire du Conseil national de sécurité(CNS) a présenté l’état des lieux de l’action de l’Etat en mer. Celle-ci, a-t-il révélé, elle une dimension importante de la stratégie nationale de la sécurité nationale. Selon lui, la Côte d’Ivoire qui aspire à développer une véritable culture préventive stratégique a mis en place un comité interministériel présidé par le Premier ministre et appuyé sur deux préfets maritimes.

En procédant ainsi, l’Etat vise à ses dires, une plus grande coordination de l’action des différentes administrations en vue de faire face à l’émergence des menaces multiples auquel est appelé à faire face le pays de par sa position économique dans la sous-région.Cette réponse nationale d’adaptation aux menaces nouvelles, s’intègre d’après Dr Kouassi Lenoir, dans un dispositif régional à travers lequel la Côte d’Ivoire entend fédérer les différentes initiatives autour de ses capacités de commandement pour son rayonnement diplomatique.

Notons que le ministre auprès du Président de la République, Chargé de la Défense, Paul Koffi Koffi, le directeur de cabinet du Premier ministre, Théophile Ahoua N’guetta et l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, SEM Georges Serre ont assisté à la cérémonie du séminaire qui se tient au cinquième niveau du BCP le Mistral.Le Mistral est un bâtiment de projection et de commandement (BPC) de la Marine nationale française. Il est en escale officielle à Abidjan.
Photo : SECURITE MARITIME : UN BATIMENT DE LA MARINE FRANCAISE ABRITE UN SEMINAIRE SUR L’ACTION DE L’ETAT EN MER

Le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la sécurité Hamed Bakayoko, assurant l’intérim du Premier ministre, a présidé en son nom, ce lundi 7 avril, l’ouverture officielle d’un séminaire portant sur l’action de l’Etat en mer. Ce séminaire qui se tient sur deux jours à bord du bâtiment de projection et de commandement(BPC) français le Mistral, réunit les experts ivoiriens, leurs homologues de l’Hexagone ainsi que d’autres des sous-régions ouest-africaines et d’Afrique centrale. Cette rencontre, de l’avis du ministre d’Etat Hamed Bakayoko, traduit l’importance que le pays accorde à la sécurité maritime, dans le contexte de la flambée des actes de piraterie maritime dans le golfe de Guinée. Il y voit le symbole de la synergie d’actions et de la vision commue entre la France et la Côte d’Ivoire dans un domaine où les autorités ivoiriennes misent sur la coopération pour juguler les fléaux auxquels le pays doit faire face au niveau maritime.

Pour Hamed Bakayoko, même si l’action de l’Etat en mer va au-delà de la sécurité maritime, celle-ci n’en constitue pas moins une problématique essentielle et épineuse pour le pays.

Dans la mesure où assure-t-il, la sécurité maritime intègre les questions d’ordre sécuritaire et politique. Tout en indiquant que le gouvernement ivoirien nourrit de grandes attentes de ce séminaire, le représentant du Premier ministre a fait savoir que la Côte d’Ivoire ne ménagera aucun effort pour contribuer aux côtés des autres Etats de la CEDEAO, à la mise en place du Centre régional pour la sécurité maritime en Afrique de l’Ouest. Car, argumente-t-il, c’est ensemble, dans le cadre d’une coopération agissante et avec l’aide de pays amis au nombre desquels la France, que « nous relèverons les défis de la sécurité maritime dans notre pays ».

Pour sa part, Dr Kouassi Lenoir, représentant le Secrétaire du Conseil national de sécurité(CNS) a présenté l’état des lieux de l’action de l’Etat en mer. Celle-ci, a-t-il révélé, elle une dimension importante de la stratégie nationale de la sécurité nationale. Selon lui, la Côte d’Ivoire qui aspire à développer une véritable culture préventive stratégique a mis en place un comité interministériel présidé par le Premier ministre et appuyé sur deux préfets maritimes.

En procédant ainsi, l’Etat vise à ses dires, une plus grande coordination de l’action des différentes administrations en vue de faire face à l’émergence des menaces multiples auquel est appelé à faire face le pays de par sa position économique dans la sous-région.Cette réponse nationale d’adaptation aux menaces nouvelles, s’intègre d’après Dr Kouassi Lenoir, dans un dispositif régional à travers lequel la Côte d’Ivoire entend fédérer les différentes initiatives autour de ses capacités de commandement pour son rayonnement diplomatique.

Notons que le ministre auprès du Président de la République, Chargé de la Défense, Paul Koffi Koffi, le directeur de cabinet du Premier ministre, Théophile Ahoua N’guetta et l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, SEM Georges Serre ont assisté à la cérémonie du séminaire qui se tient au cinquième niveau du BCP le Mistral.Le Mistral est un bâtiment de projection et de commandement (BPC) de la Marine nationale française. Il est en escale officielle à Abidjan Côte d'Ivoire
RTI-Le président Ali Bongo effectue une Visite de travail et d`amitié à Abidjan

RTI-Le président Ali Bongo effectue une Visite de travail et d`amitié à Abidjan
Un sourire peut changer bien de choses autour de vous.


Photo : Un sourire peut changer bien de choses autour de vous.

mardi 17 juin 2014

Comment faire pour éradiquer le phénomène des microbes qui serment la terreur dans nos quartiers?

dimanche 8 juin 2014

Visite du Chantier du pont de Jacqueville par le Premier Ministre Daniel Kablan Duncan en présence du Ministre d'Etat,Ministre de L'Intérieur et de la Sécurité Hamed Bakayoko.(Photo:MDC)

jeudi 15 mai 2014

COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES:
Au titre du Ministère d’Etat, Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité
Sur présentation du Ministre d’Etat, le Conseil a adopté une communication relative au projet de loi portant modification de la loi n° 2001-634 du 09 octobre 2001 portant composition, organisation, attributions et fonctionnement de la Commission Electorale Indépendante (CEI), telle que modifiée par la loi n° 2004-642 du 14 décembre 2004 et par les décisions n° 2005-06/PR du 15 juillet 2005 et n° 2005-11/PR du 29 août 2005.
Les modifications proposées dans le nouveau projet de loi portent essentiellement sur la composition de la CEI dont le nombre de membres actuel est de 31 ( trente et un ) . Ainsi, ce nouveau projet retient que celle-ci est composée de dix-sept (17) membres, contre treize (13 ) initialement proposé , selon le détail suivant ;
-un (1) représentant du Président de la République ;
-un (1) représentant du Président de l’Assemblée Nationale ;
-un (1) représentant du Ministre chargé de l’Administration du Territoire
-un (1) représentant du Ministre chargé de l’Economie et des Finances
-un (1) magistrat désigné par le Conseil Supérieur de la Magistrature ;
-quatre (04) représentants de la Société Civile, dont deux désignés par les confessions religieuses, un par les Organisations Non Gouvernementales non confessionnelles, et un avocat désigné par le Barreau ;
-quatre représentants du parti ou groupement de partis au pouvoir,
-quatre représentants des partis ou groupements politiques de l’opposition.
Cette nouvelle proposition s’inscrit dans le cadre du consensus voulu par le Chef de l’Etat autour des principaux organes chargés de l’organisation des prochaines élections générales. Elle prend en compte les conclusions des dernières rencontres entre le Ministre d’Etat, Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité et les partis et acteurs politiques ivoiriens.